Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
17 octobre 2021 7 17 /10 /octobre /2021 20:55
Participants : Jihem, MMarc, Petitdragon
 

 

 
Beau lever de soleil rosé ce matin, mais températures bien fraîches, il faut trouver la tenue adaptée. Pour le bas, ce sera un short, pas encore prêt pour un cuissard long, sûrement trop chaud en cours de ballade. Pour le haut, maillot technique, maillot manches longues, coupe-vent et tour de cou. Je vais supporter tout cela 2h avec ces températures fraiches.
 
Je retrouve Marc à l'écluse, on arrive quasiment en même temps, pile poil à l'heure. On prend le chemin le long du canal, la végétation a poussé mais c'est bien sympa, il n'y a personne, les jambes sont bonnes.
 
A Noisiel, joli spectacle avec le brouillard sur l'esplanade et le soleil. Je m'arrête pour une petite photo.
 

 

 
On décide de prendre le single le long de la grille depuis le bas. C'est plutôt sec, c'est de bon augure pour la suite. On arrive avec quelques minutes de retard en haut, au RV avec Petitdragon, habillé encore plus chaudement que nous (il faut dire qu'il est parti plus tôt que nous).
 
On se lance dans la descente avec Petitdragon, Marc étant pas loin derrière ... enfin, c'est ce qu'on pensait, sauf qu'au milieu, quand on a voulu bifurquer pour rejoindre notre descente, on a attendu Marc ... mais on ne l'a jamais revu. Nous sommes remontés pour voir s'il avait été victime d'un incident technique, sans le trouver. Nous sommes allés faire notre descente habituelle en esquivant le tremplin encore réhaussé, trop haut pour nous maintenant.
 
En bas de la descente, ma tige de selle téléscopique s'est mise en grève, ne voulant plus remonter. J'ai eu beau la mettre un peu au soleil, rien n'y faisait jusqu'à ce que Petitdragon me suggère de dévisser un peu la molette pour régler la vitesse de remontée. Bingo, elle s'est enfin relevée. On a longé l'esplanade pour rejoindre la passerelle, notre dernier espoir de retrouver Marc (dont nous n'avons pas le numéro de téléphone) à qui on avait dit qu'on passerait là ... et c'est gagné, il est là, ouf !
 
On poursuit par la base de Vaires puis le long de la Marne côté sauvage pour rejoindre Lagny par le port. La grille à l'entrée du port est ouverte, on se prend à espérer que ça passe au bout ... mais ça ne sera pas le cas, il faudra faire demi-tour et emprunter un sentier un peu sauvage pour rejoindre la route.
 
Après la traversée de Lagny, on poursuit le long de la Marne sur le chemin dont les berges s'effondrent de plus en plus. En chemin, on aperçoit un gars en vélo de route arrêté sur le bord du chemin. Quelle idée de passer là en vélo de route ! Encore une victime de la mode du Gravel ? Vous connaissez l'amour de Petitdragon pour le Gravel et bien, on ne sait pas s'il faut y voir un lien de cause à effet, mais en passant à sa hauteur, Petitdragon lui est tombé dessus et l'a envoyé bouler, en roulade, 2 m en contrebas, côté Marne, par chance au seul endroit où il y avait une petite berge, sinon c'était direct dans l'eau ! Marc s'est retenu de rire, surtout que le gars, au lieu de s'énerver, s'est excusé de ne pas s'être mieux rangé :lol:. En fait, en voulant éviter le gars, Petitdragon a pris au large ... et s'est pris une branche dans les rayons qui l'a poussé sur le gars. Joli strike !
 
On a aidé le gars à remonter son vélo et à remonter tout court et on est reparti, morts de rire après cette cascade. Alors que j'étais en train de dire que c'était dommage que je n'avais pas filmé, 100 m plus loin, mon épaule gauche a heurté une branche qui dépassait et m'a projeté dans un buisson sur la droite où je me suis étalé. Décidément, un bon coin pour les cascades !
 
Après les statues, on a rejoint Chalifert où j'ai sorti la caméra avant d'attaquer la montée sur les côteaux. Evidemment la batterie était à plat, heureusement que j'en avais deux autres dans le sac.
 
Montée bien raide, comme j'en avais le souvenir, mais qui passe bien pour tous. On enchaîne avec la descente, bien sympa, sauf qu'au milieu, au passage le plus intéressant, on se retrouve à croiser tout un tas de vététistes qui nous obligent à ralentir. Après un passage très humide, on rejoint le pont de Chalifert pour traverser la Marne et rejoindre le bois de Vallières.
 
Cela fait plaisir de retrouver ces chemins, même si ça monte. On enchaîne la montée à l'entrée du bois, bien érodée, la descente avec les lacets, avec malheureusement un gros arbre en travers dès le premier lacet, puis la montée du milieu, très raide et grasse, impossible de tout monter sur le vélo, puis un chemin en traverse et la descente des ornières, avant de remonter la côte de la bosse, vraiment raide (où l'on dépassera une sortie d'un club de chiens, encore la fête pour moi avec des dizaines de chiens), pour rejoindre Carnetin, avec l'allée à poussette qui s'est bien détériorée depuis mon dernier passage, avec des trous rendant la montée impossible. Pause bien méritée au sommet.
 

 

 
On va descendre ensuite sous la Dhuys, dans des champs pas très roulants, en entendant quelques tirs de chasseurs, puis on va couper dans un raccourci bien humide où Marc s'éjecte de sa monture à temps pour éviter la chute. On remonte la descente du bois de Luzancy jusqu'à mi-hauteur avant de prendre un chemin montré la dernière fois par Petitdragon qui remonte pendant un petit moment, puis se poursuit pas une descente bien raide où l'on peut envoyer, et s'offrir un joli petit saut en bas ... avant que cela ne remonte à nouveau. Ca commence à piquer dans les cuisses, la montée est longue jusqu'à Villevaudé où l'on se sépare.
 
Je rentre au plus court par Pomponnette (où je débusque un faisan), le chemin des vaches, Vaires, le canal et la piste du bord de Marne, j'ai les cuisses en feu, pleines d'acide lactique, le retour va être difficile. J'arrive à 13h30, trop tard pour le repas, ma femme a déjà mangé :roll: . Je m'envoie le reste du cassoulet avec un petit coup de pif, pas sûr que ce soit l'idéal après une sortie de 5h, mais il est bon, alors tant pis  :P
 
Statistiques
Distance : 64 km pour moi, 75 km pour MMarc, 125 km pour Petitdragon
D+ : 491 m pour moi, 1316 m pour Petitdragon
Moyenne : 15 km/h
Chutes : 1 pour Petitdragon et 1 pour moi
Partager cet article
Repost0
27 septembre 2021 1 27 /09 /septembre /2021 10:19
Participants : Jihem, Petitdragon
 
Réveil à 7h pour un départ à 7h45. Ca tombe bien le soleil est levé depuis 2' ... sauf qu'on ne le voit pas, le ciel est très nuageux. En plus, j'ai laissé mes verres de soleil, il fait donc vraiment très sombre.
En haut de la montée de Ste Camille, il tombe maintenant un petit crachin qui vient se déposer sur les lunettes, je ne vois vraiment pas grand chose.
 
A 8h15 (donc à l'heure), j'arrive au RV à la borne des 3 départements où m'attend déjà Petitdragon. Je change rapidement mes verres de lunette car en sous-bois, ça ne va pas être possible.
 
On démarre par le bois de Célie qu'on traverse par le chemin le long de la voie ferrée, à bonne vitesse, puis on va prendre la piste cyclable pour rejoindre le GR14 ... mais sans le prendre. En effet, le but de la sortie d'aujourd'hui est d'aller explorer les différents chemins de cette immense forêt (en fait, il y en a deux qui se touchent, la forêt d'Armainvilliers au départ et celle de Ferrière un peu plus loin, mais pas facile sur le terrain de bien savoir où l'on est), à la recherche de pépites. Petitdragon a préparé une trace empruntant de nombreux chemins qui apparaissent sur la carte. On va donc aller confronter la théorie à la réalité du terrain, pour valider ou pas certains chemins.
 
Après la petite ferme, on prend un petit chemin et c'est parti pour l'aventure. Je ne vais pas décrire notre parcours, pour une fois, car on a tellement tourné dans tous les sens, que c'était impossible de mémoriser. 
En tout cas, assez vite, on s'est retrouvé sur un chemin qui n'en était pas vraiment un, c'était un chemin de tracteur forestier en pleine forêt (on s'est trompé au départ), avec un sol couvert de petits rondins, des grandes herbes, des ornières, des flaques et des ronces. Impossible de vraiment rouler là-dedans, obligé de descendre régulièrement du vélo et sinon beaucoup d'énergie dépensée pour avancer. Celui là, on ne le valide pas (Petitdragon sort une impression papier de la carte et de la trace et met un signe après chaque chemin pour savoir s'il faut le conserver ou non, une vraie organisation de pro pour quadriller la forêt).
 

 

 
On finit quand même par en sortir. On va alors s'orienter vers le nord de cette forêt où après quelques tours et détours on va se retrouver en lisière, du côté de Croissy Beaubourg. On va suivre un petit bout la lisière avant d'arriver à un énorme espace avec un champ en plein milieu de la forêt, étonnant. On va le longer. 
 
Pour la suite, Petitdragon a prévu une boucle, mais un grillage nous empêche d'accéder à cette zone qui va s'avérer immense et protégée tout du long. On se console sur d'autres chemins dont un vraiment très humide. Sur celui là, les flaques ont l'air éternelles quelle que soit la saison, elles sont toutes vertes comme les mares croupissantes, c'est limite marécageux. Un bon chemin pour Flo et Jibé :P. J'apporte ma contribution en soulageant ma vessie dans une flaque.
 
Certains chemins sont assez sympas, rien de transcendant non plus, d'autres pas terribles et pas roulants. En tout cas, je suis complètement paumé maintenant, impossible de me situer (j'ai juste reconnu à un moment, plus tôt, le secteur de la grosse ligne haute tension qui traverse la forêt, ça c'est le meilleur point de repère). A un moment, en cherchant à prendre un petit chemin qu'on apercevait et qui correspondait a priori à une petite boucle prévue au programme, j'ai l'impression d'être tout près des bosses de Pontcarré, l'allée me dit quelque chose. C'est en croyant enfin trouver l'entrée du chemin qu'on se rend compte qu'en fait, c'est le chemin des bosses qu'on vient de prendre. Dans le virage, on cherche un point de départ pour la boucle, on galère et on finit par dénicher un semblant de chemin. Ca le restera tout le long, juste une petite sente à peine tracée au milieu de la forêt vierge, ça ressemble plus à un repère à sangliers qu'à un spot de VTT. On ne validera pas non plus cette boucle sur laquelle il est très difficile de progresser. 
 
On retrouve les bosses et on prend enfin le GR14 pour traverser Pontcarré et aller longer le parc du château de Ferrière. Pour éviter la grande allée chiante avec les pavés, on va commencer un nouvel épisode d'exploration en tournant à nouveau dans tous les sens. On va trouver de tout, des grands chemins tous droits, tout en longueur, des pseudos chemin en sous-bois, avec un pilotage difficile entre les passages boueux, et les passages où il faut à la fois sauter les différents obstacles (bouts de bois, rondins dans tous les sens) tout en baissant la tête pour ne pas se prendre trop de branches dans la tronche. C'est sportif et assez usant de progresser là-dedans. On finit par arriver au carrefour près de la grille du château où l'on fait une pause barre. 
 
Là maintenant, au choix, la suite de l'allée chiante du GR14 ou un passage herbeux qui n'est même pas un chemin, en tout cas au départ. Pas très sexy d'un côté comme de l'autre, mais comme on est là en mission pour explorer la forêt, on va choisir le chemin qui n'est pas un chemin. C'est une sorte d'allée herbeuse, mais c'est que de l'herbe, personne n'est passé là. Difficile d'avancer correctement, mais on poursuit. Ca dégénère et devient une trace à sanglier. En fait, c'est un chevreuil qu'on va voir juste devant nous, il va traverser et partir à droite dans les bois. Sur la suite, au sol, il y a plus de traces de sabots que de pneus ... Encore un bout qu'on ne va pas valider.
 
On va ensuite enchaîner quelques chemins toujours pas très roulants. L'un est quand même plus sympa que les autres, on le note ... enfin surtout Petitdragon. Sur les chemins les plus civilisés on ne va pas arrêter de rencontrer des gens avec des chiens, il n'y a que cela, on va même croiser un groupe avec 8 chiens. Comme je leur ai dit, pour moi qui aie peur des chiens , c'est la fête ! Heureusement, ils étaient calmes et ne m'ont pas embêté.
 
Il est 11h, on fait une dernière boucle ensemble mais il faut que je prenne le chemin du retour, je suis loin de la maison, il ne faut pas que je rentre trop tard et accessoirement, ça va faire long, donc je risque d'avoir du mal à rentrer.
 
On se sépare après cette bonne matinée d'exploration et je pars rejoindre le GR14 pour le suivre tout le long du retour. Bon, pour tout dire, finalement, le meilleur chemin, ça reste le GR14, c'est le plus ludique, le mieux tracé et le plus praticable (et en plus il est balisé, on ne se perd pas). Pas vraiment trouvé de pépite dans cette forêt qui a le désavantage d'être vraiment plate, ça n'aide pas. Bon, au moins, on aura quelques variantes pour changer un peu d'itinéraire.
 
A signaler que du côté de Ferrières, je suis tombé sur quelques chênes abattus pour la nouvelle charpente de Notre-Dame. J'avais vu l'info que 40 chênes viendraient de cette forêt, j'en ai vu 3-4 (on les reconnait facilement, c'est écrit Notre-Dame en bleu dessus et il y a une étiquette).
 

 

 
Je sais que je vais faire ma plus longue distance depuis que je n'ai plus mes problèmes de genoux, et comme j'ai déjà dépensé beaucoup d'énergie dans les chemins pas roulants, je me mets en mode économie d'énergie, avec un petit rythme régulier, pas trop violent, qui me permet de faire tout le retour sans m'épuiser, pour une arrivée à la maison à 13h (madame fait un peu la tête, je l'ai prévenue pourtant au début du retour), avec encore des forces malgré les plus de 68 km au compteur mais une bonne faim (j'ai mangé mes 5 barres dans la matinée mais ça ne suffit pas).
 
Content d'avoir roulé un bon bout avec Petitdragon, ça m'a rappelé les grands moments d'exploration de la Horde, et content aussi de ma forme car je finis les 68 km sans être cuit alors que ce n'était vraiment pas roulant (pour tout dire, avant le retour, la moyenne était seulement de 12 km/h). Et j'ai passé les 2000 km ce qui ne m'était pas arrivé depuis quelques années avec mes problèmes de genoux.
 
Statistiques
Distance : 68,4 km pour moi, 103,5 km pour Petitdragon
D+ : 228 m pour moi, 349 m pour Petitdragon
Moyenne : 16,1 km/h pour moi, 14,4 km/h pour Petitdragon
Partager cet article
Repost0
13 septembre 2021 1 13 /09 /septembre /2021 07:27
Sortie du 12 septembre 2021 (Brou, Luzancy, Villevaudé, Dhuys, Bondy ...)
Participants : Jihem, Petitdragon
 
Après la sortie avortée de la semaine dernière où j'étais un peu resté sur ma faim, avec Petitdragon on a donc décidé de faire la suite prévue la semaine dernière, dans l'autre sens, afin de me faire découvrir les nouveaux singles repérés au cours de ses nombreuses sorties marathon.
 
RV à Noisiel à 9h où nous arrivons de manière synchronisée, ça commence bien. En plus, il fait beau et pas trop chaud. Par contre, gros contraste avec les lunettes de soleil, entre les sous-bois très sombres et l'extérieur avec le soleil dans les yeux pour venir.
 
Comme d'hab', on se fait la descente le long du grillage, puis notre descente, avec la variante pour la deuxième partie. On prend ensuite un chemin inédit dans l'herbe le long de l'allée à côté de la Marne, puis on poursuit par le single de la base de Vaires, jusqu'à l'écluse du canal.
 
On traverse alors pour aller au bois de Vaires, on fait notre tour habituel et on ressort pour aller prendre le chemin des vaches jusqu'à Pomponnette. Là, Petitdragon nous fait bifurquer vers un chemin de sanglier qui débouche sur un vrai chemin, assez humide, tout en ligne droite, dans une grande forêt juste à côté de Pomponnette (Bois de Brou). 
 
Après avoir croisé une charmante joggeuse à la queue de cheval aguicheuse (ça, c'est pour appâter notre Guigui, pour les prochaines sorties), on ressort beaucoup plus loin que d'habitude, sur un pont au-dessus de la Francilienne et on va suivre un petit single dans les champs de long de la route jusqu'à Villevaudé. Là, Petitdragon disparaît dans les buissons, je le suis, c'est un peu la forêt vierge, avec des ronces et des hautes herbes humides. En plus, j'entends un paquet de chiens aboyer, mais où est-ce que m'emmène Petitdragon ? Il paraît qu'il y a un refuge de la SPA pas loin, ça doit être cela. On arrive juste au pied de la grosse côte bitumée, à côté de la maison du roquet. On tire un peu la langue car ça monte fort, mais ça passe.
 
En haut, Petitdragon me propose soit de passer sous le camping par le chemin qu'on connait, soit de faire un tour que je ne connais pas. C'est la sortie découverte pour moi, donc, je n'hésite pas, je veux aller voir ces nouveaux singles.
 
On se prend un petit chemin qui monte un peu, ça va pas mal, avant de se redresser vraiment très fort sur la fin, un vrai mur. Petitdragon s'arrache et passe, de mon côté, le genou gauche craque une fois, deux fois, oula, je mets pieds à terre, faut pas que je force et que je me refasse mal au genou. Par prudence, je fais donc le petit raidillon à pied avant de remonter sur le vélo pour la fin. S'ensuit une jolie descente, assez longue, piégeuse, avec des ornières, de la boue, des racines, où l'on peut se faire plaisir en pilotage. Coin à conserver, c'est sympa et visiblement dans les 2 sens (Petitdragon le découvre dans ce sens).
 
On arrive en plein milieu de la descente du bois de Luzancy que l'on va remonter. On va y croiser 2 vélos et 2 chevaux, et au sommet, les éternelles sentinelles des roms qui sont toujours dans le coin et n'ont toujours pas découvert la technique des latrines, un peu plus évoluée que de poser sa pêche au milieu du chemin ! D'ailleurs, on a du rouler dedans à un moment tous les deux car on va avoir des relents de merdasse tout le reste de la sortie, sympa !  :193:
 
Au sommet, on se fait un petit bout de piste cyclable, avant de bifurquer dans un champ, je ne vois aucun chemin, faut connaître, pour entrer dans une forêt vers Monjay la Tour où je ne vois toujours pas vraiment de chemin, mais normalement, il y en a un pas loin, qu'on finit par débusquer, mais c'est vraiment un semblant de chemin. On galère un peu pour trouver un chemin plus marqué et c'est parti. On fait un bon bout dans cette forêt, en se rapprochant de Villevaudé, avec un enchainement de singles sinueux bien sympas qui finissent par arriver à la Dhuys. On chouffe pour voir si MMarc ne traîne pas dans les parages, vu que c'est sa sortie préférée. Nous, ce n'est pas trop le cas, mais on va devoir la suivre un bon moment.
 
Vers la fin, on repart en mode exploration sur la droite de la Dhuys, avec encore plein de singles sympas, dans plusieurs forêts, dont le bois de Bernouille et une autre, plus grande, bois de la Couronne, du côté de Livry Gargan, avec des singles dans tous les sens . Après un dernier détour sous la Dhuys (celui là, je le connaissais), on rejoint la forêt de Bondy où l'on va aussi enchaîner quelques singles, dont un très sauvage sur le début, celui de la clairière qu'on ne retrouvait plus, et bien c'est normal, c'est complètement planqué derrière une forêt vierge qui débouche sur la fameuse clairière abandonnée où les herbes sont maintenant plus hautes que nous, avant d'aboutir enfin sur le single recherché, bien accidenté et technique, le rêve pour Guigui et Jibé :P.
 
On tourne un peu, et soudain je m'aperçois qu'il est midi. Oups, je ne suis pas encore à la maison, le temps de rentrer, madame va devoir patienter ... ou pas, avant de manger. On se refait une dernière grimpette et une descente et on prend le chemin du retour. Pour éviter la montée qui arrive au-dessus de l'arboretum, on va prendre ... une autre montée qui arrive au-dessus de l'hôpital de Montfermeil. Là, on prend au plus court comme la semaine dernière avec Guigui. On se sépare au canal avec Petitdragon qui va remonter par Noisiel, tandis que je vais poursuivre par le canal et la piste cyclable.
 
J'arrive à la maison à 13h et zut Strava est resté bloqué au km 44 (quand j'ai pris les photos, mon smartphone s'est complètement figé). Je ne vais pas avoir tout le parcours et les bonnes stats sur Strava, dommage, mais j'ai les chiffres du GPS, même s'il est toujours plus pessimiste que Strava. 65 km, mon record depuis des lustres. Je suis content, j'arrive plutôt frais, pas fatigué et je n'ai pas peiné pour suivre Petitdragon (on n'a pas fait la course, en même temps). Plutôt positif pour la suite.
 
Merci à Petitdragon pour toutes ces découvertes sympathiques, fruits de ses explorations dominicales. Ca faisait longtemps que je n'avais pas découvert autant de nouveaux chemins en une sortie. J'ai bien aimé  :251:
 
De son côté, Petitdragon a fait plus que poursuivre la sortie car après le Bois de Célie, il est parti dans la forêt de Ferrières puis celle de Notre-Dame pour aller battre son record de distance en VTT d'un km, avec 152 km :affraid:
 
Statistiques
Distance: 65 km pour moi, 152 km pour Petitdragon
D+ : 441 m pour moi, 837 m pour Petitdragon
Moyenne : 16,4 km/h pour moi, 15,5 km/h pour Petitdragon
Sortie du 12 septembre 2021 (Brou, Luzancy, Villevaudé, Dhuys, Bondy ...)
Partager cet article
Repost0
5 septembre 2021 7 05 /09 /septembre /2021 20:13
Participants : Guigui, Jibé, Jihem, MMarc, Petitdragon
 
Grand retour de la Horde, enfin de ce qu'il en reste, avec une sortie retrouvailles ce matin et des RV un peu partout.
 
Premier RV à Bry à 8h30 ... où j'arrive avec 5' de retard. Ben, oui, au moment de partir, quand j'ai mis les gants, j'avais 2 mains gauches, pas pratique pour rouler :lol:. Voilà ce que c'est d'avoir 2 paires de gants identiques.
Guigui, la surprise de jour (mais je m'y attendais un peu) m'attend déjà à l'entrée de la piste cyclable, avec sa belle tenue XC, tout comme son vélo, avec les pneus bien lisses (hum, pas sûr que ce soit top là où l'on va). Mais c'est qu'il a pris du cuissot le minot ! Et oui, ce n'est plus l'adolescent que nous avons connu à ses débuts, un vrai jeune homme maintenant. Ca sent le bon entraînement ça ! Jibé arrive dans la foulée. On est pas trop mal niveau horaire, mais on se dépêche de repartir pour aller trouver MMarc et son fameux gilet jaune (au moins on le reconnait de loin) à l'écluse. Nous voilà déjà à 4, du jamais vu depuis des mois. Et ce n'est pas fini ...
 
On part rapidement sur le single le long du canal. Je n'y suis pas passé depuis des lustres, mais comme d'hab', en été, la végétation est généreuse ... et le passage un peu étroit, j'ai même failli coincer le guidon dans un buddleia, un coup à finir au tapis. Pas mal de joggeurs, mais pas beaucoup de place pour se croiser, il faut faire gaffe. Le terrain s'est un peu raviné et quelques rochers sortent un peu, sans compter un endroit où le sol s'effondre un peu sur la rive. Bref, le coin a un peu changé, mais c'est quand même sympa, nettement mieux que sur la piste cyclable.
 
On rejoint le parc de Noisiel et quand je prends le petit single pour monter dans le sous-bois, les deux derniers de la classe décident de sécher et de monter par l'allée. Petits joueurs ! Seul MMarc me suit (ceux qui ont le sens de la déduction trouveront facilement qui a grugé :P). On se retrouve tous au sommet pour le dernier RV avec Petitdragon, à 9h ... sauf qu'il est 9h10. Bon, on a vu pire et en attendant, après nous avoir envoyé un petit SMS sympathique dont il a le secret :lol:, comme prévu, il est allé se faire une descente pour patienter donc pas de problème. Sympa de tous se retrouver, on en avait marre de rouler seul.
 
On reprend le single dans l'autre sens, enfin, la première partie. C'est bien sec et j'ai Petitdragon au cul, du coup je ne traîne pas et y fais mon meilleur temps, cool. On poursuit par notre descente habituelle et son nouveau petit tremplin toujours aussi sympa, enfin, pas pour les 2 zèbres qui prennent les allées (faut faire du Gravel, les gars :P ) qui évitent l'obstacle. Les petits sauts et virages s'enchaînent bien, ça fait plaisir. On poursuit par le single en bas, le long du ruisseau, bien roulant aussi, j'en profite et fait également mon meilleur temps.
 
Tout le monde se marre car on voit une quantité de chiens pas possible ce matin ... et comme d'hab', c'est toujours devant mes roues qu'ils décident de traverser. Quand je vous disais que je les attire !
 
A partir de maintenant, on suit (enfin on essaye) Petitdragon car c'est sa trace et parce qu'il a une pêche pas possible en ce moment avec toutes ses sorties hyper marathon tous les week-ends (encore 150 km dimanche dernier). Nous, on fait ce qu'on peut. Par contre, niveau parcours et RV, on n'a pas optimisé car on revient le long du canal en direction de Bry (j'ai cru que j'allais faire ma sortie la plus courte de ma vie :lol:). Le long du canal, après la route de Chelles, là où c'est plus sauvage, on passe près d'un pêcheur qui a garé (enfin, si on peut dire) sa camionnette en plein milieu du chemin. Sympa, le mec, il vit tout seul au monde ou quoi ? Juste après, il y a des ornières un peu traîtres qui vont faire une victime. On ne l'a pas vu car nous étions devant, mais Jibé s'est retrouvé avec sa roue bloquée et a fait un beau vol plané avec atterrissage sur le bassin (tiens, ça nous rappelle quelqu'un  ;)). Visiblement, le choc a été rude car on a attendu un peu avant de le voir arriver, se tenant l'arrière train et grimaçant. Du coup, cela l'a refroidit un peu, l'ami Jibé, et il a été davantage sur la réserve sur la suite, évitant les sauts habituels (nan, je déconne ... c'est pas franchement le truc de Jibé, les sauts).
 
Au parc de Haute Rive, en quittant le pont qui enjambe le canal, Petitdragon prend un raccourci bien pentu à gauche, Guigui refuse l'obstacle, du coup j'y vais avec un temps de retard mais sans avoir vu de quel côté est parti Petitdragon en bas (il y a plusieurs chemins). En haut tout le monde refuse l'obstacle et le temps que je retrouve Petitdragon, les 3 autres ont disparu. On les attend sur le pont, là où l'on s'est vu la dernière fois, c'est comme cela qu'on fait si on ne veut pas se perdre définitivement. A croire qu'ils ont voulu éviter la suite et se sont barrés. J'appelle Jibé au téléphone qui ne répond pas, Guigui non plus. Au bout de 10', Jibé me rappelle pour me dire qu'ils sont revenus en direction de Bry mais que Marc sait comment aller aux carrières de Gagny depuis là-bas et propose de nous y retrouver. Ok, c'est reparti !
 
Petitdragon me fait traverser Gagny par des petites rues, avec pas mal de passages dans l'herbe, ça change du grand axe plein de voitures. On arrive aux carrières par une entrée que je ne connaissais pas, plus au sud que le passage habituel. C'est assez escarpé, avec une petite descente technique bien pentue pour arriver dans une zone très fraîche ... due à une entrée de galerie qui était le but du petit détour de Petitdragon. Le coin est creusé de partout, il me montre d'autres entrées et il faut vraiment faire gaffe, c'est un vrai gruyère par ici. Dès qu'on remonte, et ça remonte sec, on se prend la chaleur en pleine face, vraiment une sacrée différence par rapport aux entrées de galeries vraiment fraîches.
 
On rejoint la grande galerie par le haut, on roule un petit coup dedans, avant de ressortir au point de pause habituel. Personne au RV, nous sommes les premiers. On prend une barre et ils finissent par arriver. Jibé se ressent toujours de sa chute et commence à parler de rentrer en zappant la suite. Guigui nous apprend qu'il doit être de retour à 12h chez lui, ça va être raté. Le but de la trace est d'enchaîner sur les différents singles des carrières, ce serait dommage de sortir dès maintenant, donc Ok pour s'amuser un peu. 
 
On part dans le sens inverse de d'habitude et forcément, on finit par monter ce que l'on descend d'habitude, donc ça pique un peu, d'autant que pour corser l'affaire, avec les sources, il y a encore de la bonne boue par endroit et des fois ça patine. L'avantage c'est qu'on descend aussi ce que l'on monte d'habitude, ah ben oui, forcément. En tout cas, ça permet de voir le chemin différemment, ce n'est pas mal non plus. Sauf qu'on ne fait pas que prendre le chemin dans l'autre sens, Petitdragon a pimenté la trace, avec des descentes nouvelles, dont une bien foireuse qui finit dans les ronces, avec le liseron qui s'enroule autour des pédales, un bonheur, j'ai bien failli bloquer complètement une pédale. Ce n'était pas le moment de finir dans la mare avec les grenouilles ! Derrière, ça râle, c'est quoi ce single ! La suite se fait dans les grandes herbes, dans la plaine, mais en remontant. Marrant, il n'y a plus que les têtes qui dépassent :P.
 
On va alors attaquer une montée bien raide (ah oui, il a vraiment pimenté la trace) où il faut s'arracher pour passer. Après un bel effort qui fait monter le palpitant dans les tours, je passe l'obstacle, juste derrière Petitdragon mais derrière les autres calent. Ils n'arrivent pas à croire que nous soyons montés complètement sur le vélo. Pourtant c'est le cas. Du coup, ma "forme" étonne Jibé, ben, c'est les sorties dans le Gers, il y a plein de raidars partout là-bas, ce n'est jamais plat, ça m'a bien aidé pour la reprise.
 
Après quelques boucles et encore un peu plus de boue, on arrive près d'une sortie. MMarc et Jibé sautent sur l'occasion pour abréger les souffrances et prendre le chemin du retour via la Dhuys et le canal de l'Ourq. Pour Guigui, ce n'est pas la bonne direction, il n'a pas le choix, il faut qu'il nous suive s'il veut rentrer avec moi (car il ne connaît pas bien le coin et ne sait pas où nous nous trouvons). On reprend le chemin à flanc de côteaux qui ne cesse de monter/descendre. C'est assez fun car à part quelques passages humides, le reste est bien sec. Impressionnant le bruit des pneus du fat de Petitdragon sur les freinages ou les passages de petits troncs.
 
On descend faire une pause au pied de la falaise de la biquette. Dans le virage en dévers sur la gauche, Guigui, que j'avais pourtant prévenu, se fait un tout droit et une petite frayeur. Il fait de plus en plus chaud et dès qu'on s'arrête ça coule dans les yeux, il est temps de repartir et de se taper la grosse montée de la biquette, sauf qu'en plus, il faut poursuivre jusqu'en haut, contrairement à d'habitude afin de rejoindre notre entrée habituelle. Le premier passage dur est le virage en dévers, Petitdragon passe, je m'accroche et ça passe, Guigui qui n'y croyait pas avant de se lancer ... avait bien raison, il met pied à terre. Pour le reste, on va s'accrocher et s'arracher, surtout dans la grande ligne droite bien raide et tous passer, yes !
 
J'ai le choix entre poursuivre avec Petitdragon dans la forêt de Bondy (j'ai largement les canes pour car on n'a pas fait énormément de kilomètres) ou prendre le chemin du retour avec Guigui. Vu qu'il ne connait pas le coin, qu'il est déjà tard et que j'ai faim, tant pis pour Bondy (que je connais déjà pas mal), ce sera pour une autre fois, je décide de guider Guigui (ben, oui, on va pas l'abandonner en pleine banlieue comme cela).
 
On lâche donc Petitdragon qui a une trace de 105 km prévue (de toute façon j'aurais coupé après la forêt de Bondy) et on traverse Montfermeil puis Chelles avant de rejoindre le canal puis la piste cyclable, bien peuplée cette semaine (les gens sont bien revenus de vacances cette fois).
 
Au final, petite sortie pour moi, seulement 40 km (pas mal de pauses au total donc la matinée est passée vite). Je ferai mieux la prochaine fois ! Par contre, content d'avoir revu les copains. Au fait, on a oublié de faire la photo :roll: 
 
Bon rétablissement à Jibé !
 
Statistiques
Distance : 40 km pour moi, 50 km pour MMarc, 60 km pour Guigui, 63 km pour Jibé et 125 km pour Petitdragon
Moyenne : 13,8 pour Petitdragon, 14,4 pour moi, 15,3 pour Jibé, 16,5 pour Guigui
D+ : entre 300 et 400m environ selon les participants et 1185 m pour Petitdragon
Chute : 1 pour Jibé
Partager cet article
Repost0
12 juin 2021 6 12 /06 /juin /2021 23:09
Participant : Jihem
 
Exceptionnellement, ce week-end, je vais rouler le samedi après-midi car dimanche je vais à Dijon pour voir mon père que je n'ai pas revu depuis Noël 2019 avec ce foutu Covid.
 
Je redoute un peu la chaleur, j'ai déjà pris une bonne suée ce matin avec la tondeuse ... après le ménage.
La montée de Sainte Camille étant à 500m de chez moi, je n'ai pas le temps de m'échauffer avant d'attaquer mais je me sens plutôt bien et je la monte facilement sans forcer.
 
A Villiers, il y a beaucoup de voitures, ça change du dimanche matin, ce n'est pas très agréable et il fait chaud en plus, sur le bitume.
 
Personne par contre le long du Bois St Martin et je me sens même des ailes sur ce profil un peu montant, c'est louche, je dois avoir le vent dans le dos :P. Au bois de Célie, je profite de ma bonne énergie et du terrain bien sec, pour envoyer un peu sur notre single habituel. Je roule bien au début, ça s'enchaîne bien, vraiment sympa ce single. Vers le milieu, comme prévu, je commence à montrer des signes de faiblesse et à être bien essoufflé. J'ouvre le bec pour respirer ... et j'avale un gros insecte ... qui ne passe pas. Au même moment, il y a un bel arbre au milieu du chemin avec des branches à 1,2 m de hauteur, obligé de m'arrêter. C'est mort pour le temps sur le single, mais en même temps, j'étais déjà un peu cuit donc ça me fait une bonne excuse  :lol:. Je passe difficilement l'arbre, mais l'insecte, lui, ne passe toujours pas. Je manque de dégobiller, j'essaie de l'arroser mais ça ne passe toujours pas. Je repars et j'arrive dans un bourbier, bon, non, pas envie, alors je prends un autre chemin, je me perds un peu et retrouve l'étang avec la mousse verte et la suite du single. Je suis calmé, j'ai levé le pied, mais j'ai toujours du mal avec cet insecte.
 
Je traverse ensuite Pontault Combault pour aller rejoindre le GR14. Je suis un peu incertain sur la nature du terrain. Le début est plutôt sec, mais assez vite, ça se gâte un peu avec des beaux restes de bourbiers. Heureusement, il y a toujours une trace sèche.
 
Il n'y a pas un chat à cette heure, je suis peinard et il fait très bon dans les sous-bois avec un peu d'air frais bien agréable. Par contre, je me sens un peu mou. Je ne sais pas si c'est la digestion ou l'horaire inhabituel ou si je me suis un peu grillé à Célie, je vais donc doser mon effort.
 
Plus loin, je passe un fossé boueux mais j'avais mal jaugé la profondeur de la boue, je me suis bien enfoncé. J'arrive à la passerelle de Raph ... elle est complètement défoncée maintenant et le fossé est plein de flotte, pas possible de passer à vélo, mais même à pied, ce n'est pas évident, les planches ne sont pas stables du tout. Les secteurs suivants sont très boueux, avec un passage infranchissable, je suis obligé de porter le vélo. Le reste passe bien avec juste à signaler une deuxième passerelle en piteux état, que je franchis en croisant les doigts.
 

 

 

J'arrive à Poncarré, j'en suis à 21 km après le passage sur les bosses, il est temps de manger une petite barre. Les moustiques, eux, ont décidé aussi de manger ... et se jettent sur moi. Je ne m'attarde pas et je décide de poursuivre le GR14, je ne suis pas si mal depuis que je roule à un rythme plus mesuré. Mon GPS se met à bipper pour me rappeler que j'ai encore oublié de le recharger, quel boulet !
 
A la sortie de Pontcarré, à l'endroit préféré des sangliers, pas de sanglier mais un lapin au milieu du chemin. Le terrain est sec pour une fois, mais les herbes sont bien hautes, dépassant le guidon.
 
Après avoir contourné le château de Ferrières, place à une longue allée pierreuse en faux plat montant qui n'en finit pas. Je prends mon mal en patience, vraiment pas mon passage préféré sur ce GR, ça n'en finit pas et c'est un vrai tape-cul en plus.
 
Enfin, je quitte cette allée interminable pour reprendre un single. Au moment d'affronter le passage toujours un peu sauvage, je découvre des engins forestiers et un carnage, le single est dévasté. Heureusement que ce sont les VTT qui abîment les chemins !
Je me prépare à sauter un petit rondin quand sur la droite surgit un chevreuil qui traverse 10m devant moi avant de disparaître à gauche du chemin après un joli bond. J'avais juste allumé la caméra avant, j'espère que je l'ai cadré.
 
Après la route de Favière, le début du chemin est bien défoncé, mais heureusement la suite est intacte. Me voilà enfin à mon passage préféré. C'est court, mais toujours aussi sympa.
 

 

 
J'en suis à 31 km, il est temps de faire demi-tour, je vais faire autour de 60 km, ce que je n'ai pas fait depuis un bout de temps.
Je reprends donc le même chemin dans l'autre sens, toujours en dosant mon effort car je ne suis pas encore rentré.
 
Je suis surpris du peu de monde en forêt, à mon avis, tout le monde doit être en terrasse vu comme les médias nous ont bassinés avec ces terrasses, tant mieux je suis tranquille et il fait toujours aussi bon sous les arbres.
 
A Pontcarré, au même endroit, je retrouve le lapin de tout à l'heure, la vigie de Pontcarré ?
 
Je suis toujours en pilote automatique avec une vitesse de croisière modérée, les cuisses chauffent pas mal, mais en m'économisant, je vais arriver au bout sans être mort, avec un peu plus de 61 km au compteur, la fin étant assez pénible avec cette fois beaucoup de monde le long du bois St Martin et à Villiers, où j'ai été pris dans les bouchons.
 
Statistiques
Distance : 61,72 km
D+ : 234 m
Moyenne : 17,1 km/h
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : La Horde Sauvage du Val de Marne
  • : Compte-rendu des sorties VTT de la Horde Sauvage du Val de Marne
  • Contact

Recherche

Catégories