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8 juin 2017 4 08 /06 /juin /2017 13:36

Participants : Bbanpc, Jihem, Ned, Petitdragon et Stéphane (notre guide)

Session 1

Quand on ouvre les volets ce matin, le Téton de Vénus, juste en face de nous, est un peu pris par les nuages. Normalement, la météo devrait être encore bonne aujourd'hui, même si la couverture nuageuse devrait se développer dans l'après-midi.
 
Encore un petit déjeuner royal ce matin. Après le thé sud africain de la veille, je teste cette fois le Gun Powder ... juste à cause du nom (Petitdragon l'avait aussi repéré), ça doit dépôter ! Pas mal non plus celui là, très différent du précédent, je fais faire parler la poudre aujourd'hui ... ou pas ! 
 
Pendant qu'on se régale, les nuages vont et viennent sur la crête, en face. Du coup, quand François arrive, Stéphane change un peu le programme et décide d'attaquer tout de suite par la fameuse Brèche de Rolland.
 
On monte donc au Puy Mary et on s'arrête juste avant le Pas de Peyrol, l'idée étant de passer avant les nombreux randonneurs qui sillonnent le secteur lors de ces week-ends prolongés.
 
Dès le début de la montée, ma tige de selle téléscopique fait des siennes et ne veut plus quitter la position basse. Ah mais non, cette position, c'est pour descendre, comment je vais faire pour monter, moi ? J'ai beau appuyer sur la manette, tirer la selle vers le haut, que dalle, elle ne veut rien entendre. Je commence donc la montée en position crapeau sur une boite d'allumettes, en espérant qu'elle va se décoincer par la suite. Effectivement, un peu plus loin, elle remonte un peu, très lentement, pour finir par remonter complètement. Ca va tout de suite mieux pour pédaler  :lol: .
 
Après, de toute façon, il faut pousser, puis porter, donc la position de la selle ne me préoccupe plus, jusqu'à ce qu'on arrive enfin sur la crête visée, où je la baisse pour passer quelques obstacles ... sauf qu'après, à nouveau, elle ne remonte plus. Mais c'est qu'elle va finir par m'énerver cette selle  :79: . Elle n'a peut-être pas aimé le rangement du vélo, suspendu par la selle, à moins que ce soit les saletés de la veille qui auraient encrassé la tige ? Pour couronner le tout, je me remets à dérailler ... enfin, mon vélo, parce que moi, j'ai encore toute ma tête. Mais quel boulet ! Stéphane décide de supprimer quelques maillons à ma chaîne, un peu longue, ce qui, avec l'armée de mécanos en chef répartis autour du vélo, ne va prendre que quelques instants. On se croirait dans les stands d'un Grand Prix de F1 :lol: . Stéphane règle aussi les butées du dérailleur avant, et c'est reparti.
 
Avec ces soucis mécaniques, on en oublierait presque la vue, mais non, c'est trop beau, du coup, on s'arrête fréquemment pour prendre des photos.
 
 
On va alors croiser le même couple de randonneurs que nous avions croisé le premier jour, à un col, vers le Roc de l'Ombre, et qui font le circuit du Tour du Cantal. Visiblement, la nuit sous la tente a l'air d'avoir été difficile, ils ont une petite mine ce matin. Comme l'autre fois, on discute un peu, puis on repart.
 
Et cette fois, nous y voilà à cette fameuse Brèche de Rolland. Dans mes repérages d'avant voyage, j'avais vu quelques vidéos de ce passage, qui, il faut le dire, est un petit passage d'escalade (3+) et je ne voyais franchement pas comment franchir cet obstacle avec des vélos. C'était sans compter sur la connaissance du terrain et l'expérience de Stéphane, qui maîtrise le franchissement de ce passage comme une mécanique d'horlogerie de précision (bon, en même temps, avec une femme suisse, c'est plutôt cohérent :lol: ).
 
C'est vrai, qu'arrivé au-dessus (car nous allons la prendre dans le sens de la descente), c'est impressionnant, ça semble très vertical, avec pas mal de vide sous les rochers. On descend les vélos sur une première corniche, puis on attaque la partie la plus délicate. Là, pas d'autre solution que la chaîne humaine, chacun positionné sur une corniche, celui du haut tenant le vélo par une roue, le vélo pendant dans le vide vers celui d'en-dessous qui le récupère tant bien que mal, sans se faire déséquilibrer, et ainsi  de suite, jusqu'à arriver en bas, sur le petit col. N'étant pas du tout à l'aise sur ce passage, je prends le rôle de celui qui reçoit les vélos en bas, mais déjà, en bas, il faut y arriver, et même à pied, sans le vélo, c'est coton. C'est un passage de désescalade, il faut donc tourner le dos au vide, s'accrocher aux rochers avec les mains, et trouver des prises pour les pieds, en regardant entre ses jambes. Je ne fais pas le fier, pas du tout à mon aise, et après quelques efforts et conseils de Stéphane, agile comme un chamois, j'arrive enfin en bas, ouf ! L'aventure est pimentée pour papy Jihem cette année !
 
Les autres assurent comme des chefs et en peu de temps, tous les vélos sont au col et les pilotes aussi. Ne reste plus qu'à remonter en face. Heureusement, c'est moins vertical, mais c'est portage de vélo sur le dos obligatoire, à une seule main, l'autre tenant les rochers. Là, encore, Stéphane m'aide sur le passage le plus délicat et enfin j'arrive bien soulagé en haut.
 
 
 
 
Le paysage est vraiment magnifique et on se régale sur le sentier de crête. 
 
 
 
 
 
 

 
On arrive ensuite à un embranchement, sous le Puy de Peyre Arse, pour entrer dans un énorme cirque naturel, bien sauvage et bien fleuri. Il y a des genêts en fleurs partout, c'est très beau avec le dégradé de vert autour.
 
Un groupe de jeunes, avec un accompagnateur que connaît Stéphane, fait la pause à l'entrée du sentier en balcon que nous allons suivre pendant un long moment maintenant, jusqu'au Puy Griou. Ils nous regardent, curieux de voir des VTT sur ce terrain. Nous allons donc assurer le spectacle ... en essayant de ne pas trop en faire quand même, pas le moment de se prendre une gamelle et la honte !
 
A part quelques passages rocheux ou étroits où il faut ralentir ou passer à pied selon le contexte, voilà exactement le genre de sentier que j'adore. Un beau sentier en balcon, en terre majoritairement, qui tortille, avec pas trop de gaz sur le côté (ça descend, mais si on tombe, on ne va pas trop loin ... normalement), un peu de pente mais pas trop, et un paysage grandiose. Un des meilleurs passages de notre séjour, pour moi.
 
On distingue à peine, sur ces photos vers l'arrière, le sentier en balcon, à mi-pente, que l'on vient de descendre :
 
 
 
En dessous, le paysage est pas mal non plus, avec, à gauche le Puy Griou qui se rapproche doucement :
 
 
C'est tellement beau qu'à un moment, étant derrière, je m'arrête pour prendre des photos et changer la batterie de la caméra (vraiment de la daube ces batteries chinoises, je passe mon temps à en changer, heureusement que j'en ai 7 sur moi), En remontant sur le vélo, je me dis que les autres vont m'attendre un moment, et peut-être s'inquiéter, ne me voyant plus. Je me dépêche de repartir et passe un petit éperon ... pour me retrouver nez à nez avec Stéphane, le téléphone en l'air, qui attendait depuis tout le temps pour prendre une photo en action et qui commençait vraiment à se demander où j'étais passé. Oups, désolé :roll: !
 
Dans une partie pleine de rochers, avec un peu d'eau, où je pose pied à terre, je laisse passer un trailer, qui va plus vite que moi. Qu'est-ce qu'on aura vu comme trailers, il y en a partout, beaucoup plus que des randonneurs, mais il y a une explication, dans deux semaines, il y a un ultra trail dans le secteur et tous les gars viennent repérer le terrain.
 
On rejoint enfin un petit col où l'on fait encore quelques photos, tout en mangeant une petite barre.
 
 
Photo de groupe :
 
 
On domine la vallée où se trouve notre gîte, Alta Terra :
 
 
 
Derrière nous, le Puy de Peyre Arse, avec au milieu de la pente, le sentier en balcon qu'on vient de descendre :
 
 
Une fois parti, on s'aperçoit que Ned est resté et a retourné son vélo. Petitdragon l'a entendu dire qu'il n'avait plus de plaquettes de frein, qu'il allait les changer. On l'attend donc un peu plus loin, en se faisant une petite séance photo, notamment Bbanpc en train d'imiter la star Ned en train de marcher de manière très naturelle !  :89:
 
 
Le sentier va alors continuer sur l'autre côté du cirque, avec un profil montant cette fois, pour rejoindre le pied du Puy Griou, le centre du volcan de Cantal que l'on voit de partout et reconnaissable à ses grands pierriers. Ca monte fort maintenant, et il faut s'arracher. On va laisser ensuite les vélos pour aller, à pied, voir un joli point de vue, au pied du cône du Puy Griou.
 
 
Le Puy Griou, de près :
 
 
En face de nous, le Plomb du Cantal où nous avons roulé le premier jour :
 
 
Derrière nous, tout le cirque dont on vient de faire le tour avec le sentier en balcon :
 
 
Le Puy Mary et à gauche sous l'ombre du nuage, le Puy Chavaroche où nous avons roulé la veille :
 
 
On va alors entamer la longue descente, avec plusieurs tronçons différents. La première partie, au milieu des randonneurs, se fait dans un champs de grosses pierres, avec des marches, pas forcément là où je suis le plus à l'aise. Une fois de plus, le Rocky me facilite grandement la vie dans ce genre de terrain, il encaisse comme pas permis, et comme j'arrive à trouver de bonnes trajectoires, je passe ce terrain piégeux avec les honneurs, beaucoup mieux que ce que je m'aurais cru capable de faire. Il y a peu, j'aurais passé une partie de ce champs de pierre à pied. Ca fait plaisir de sentir qu'il y a quand même quelques progrès.
 
Vers le bas de ce pierrier, je crois que c'est Bbanpc qui a fait une figure et s'est rattrapé de manière limite, le vélo sur le dos ... mais debout.
 
On va ensuite suivre un plus gros chemin, avec quelques remontées qui vont nous faire tirer la langue. Je m'économise un peu et reste avec Ned, pour monter tranquillement, à notre rythme. Ned va prendre ma caméra, histoire d'avoir des images un peu plus rapides  :P.
 
C'est donc sans caméra que je me trouve d'abord derrière Bbanpc qui ne me semble pas très à l'aise aujourd'hui dans les épingles que l'on enchaîne en sous-bois, j'ai même tendance à le rattraper, c'est tout dire. Après deux trois épingles limites, alors qu'il se trouve à gauche du chemin, ou plutôt du tas de feuilles car on ne voit plus vraiment le chemin, ni ce qui est dessous, il doit se prendre une pierre ou une branche, sous les feuilles, et est complètement dévié vers la droite, on peut même dire projeté car il atterrit sur les fesses de l'autre côté du chemin, avant de glisser dans les feuilles, tout près d'un arbre, encore ! Heureusement, avec sa combinaison rembourrée de Bioman, il n'aura aucun bobo à déplorer. Mais, moi, de mon côté, j'ai raté une belle chute pour le bétisier.
 
Je suis alors Ned, que l'on retrouve comme avant, sautant partout, complètement excité dans la descente, d'autant plus qu'il a la caméra et du coup, à force de faire le kakou, dans un lacet qu'il avait pris large, sur le bas-côté, comme un virage relevé, il plante la roue avant contre une pierre, et hop, voici un Ned volant dans les airs pour atterrir dans les feuilles avec un beau rouler-bouler ... et encore une chute de raté pour moi pour le bétisier. Il suffit que je prête ma caméra, pour qu'ils viennent tous me tomber sous le nez ! Mais quelle bande de nazes !  :P Au moins, pour celle là, Ned filmait, on devrait donc avoir des images de l'intérieur.
 
La descente se poursuit et nous arrivons à un embranchement où notre guide est en discussion avec un jeune couple de randonneurs qui lui demande des indications pour atteindre le Puy Griou. La demoiselle, une belle brune aux yeux bleus d'enfer, a aussi d'autres atouts qui mettent en émoi la gente masculine, surtout que cela fait 5 jours qu'on a laissé nos femmes  :lol:.
 
Allez, un peu de concentration, messieurs, pour la suite de la descente ! On prévient François qu'on arrive et après une belle fin de descente, on le retrouve à St-Jacques de Plat, où il habite, pour un pique-nique sympa, au bord de la rivière.
 
 
 
CR Jour 4 Session 2
 
 
Après la pause le long du ruisseau, Petitdragon décide à son tour de changer ses plaquettes, il faut dire qu'elles ont bien été sollicitées, avec toutes ces descentes.
 
Comme prévu le temps se couvre un peu et comme Stéphane a ressenti un peu de fatigue en montée chez certains, il décide de renoncer au parcours qu'il avait imaginé du côté du Téton de Vénus, avec 500 m de D+ et encore beaucoup de portage. Il propose donc de finir par un circuit moins exigeant, du côté du Prat de Bouc, avec descente sur Murat.
 
On remonte donc avec la voiture qu'au Prat de Bouc, comme au premier jour, sauf que cette fois, on va descendre tout de suite. On prend donc un sentier en contrebas de la route, dans les pierres, pour traverser un petit ruisseau. Le sentier alterne les descentes et les remontées.
 
Stéphane nous annonce un petit coup de cul à venir, on se prépare donc à monter un peu ... mais en fait ça monte bien et assez longtemps :oops: . Ned accueille et passe en position portage. Bbanpc et Stéphane monte tout sur le vélo, tandis que Petitdragon et moi montons ce que l'on peut et poussons quand on ne peut plus rouler. Je suis pas trop mal quand même et après un bon moment de montée, j'arrive à un cirque où se trouvent déjà Bbanpc et Stéphane, qui est un des plus beaux cirques du Cantal. C'est très vert et fleuri, dommage que le soleil ait disparu sous les nuages, ça rend nettement moins bien que les paysages des jours précédents, sous le soleil. En tout cas, le site est très calme, juste troublé par les cloches des nombreuses vaches qui broutent dans les prairies fleuries.
 
On prend quelques photos, tout en récupérant de la montée, puis on repart, en slalomant entre les bouses dans la prairie. On a à peine commencé à descendre que ma selle se recoince en position basse, et cette fois, elle ne remontera plus, m'obligeant à pédaler installé beaucoup trop bas. Tant qu'on descend, sur une longue piste, où l'on va doubler un troupeau de randonneurs, ce n'est pas gênant, mais juste après, ça remonte et là, ce n'est pas la même histoire. J'ai l'impression d'être sur un vélo de nain (non, je ne parle ni de Bbanpc, ni de Petitdragon ... ils en parlent bien assez entre eux !) et je sens que si la montée dure un peu, je vais vite avoir les cuisses qui vont chauffer. Pas de bol pour moi, ça descend et ça remonte plusieurs fois, je suis obligé de pousser dès que ça monte trop, j'ai hâte d'être sur la descente finale.
 
En chemin, on va débusquer 2 mouflons, enfin, étant à l'arrière, je n'ai pas vu grand chose, à part une tête avec des cornes et un arrière train sautant dans les herbes quand il a pris la fuite, je n'avais même pas vu qu'ils étaient deux.
 
La descente va se faire dans un grand chemin forestier, assez défoncé, avec pas mal de pierrailles et de morceaux de bois, le chemin ayant servi visiblement à débarder, le tout à bonne vitesse. C'est sympa, mais évidemment largement moins intéressant que ce qu'on a fait dans la matinée (voilà ce que c'est d'être un peu fatigués).
 
La descente se fait en plusieurs tronçons, avec, sur la fin, des traversées de petites routes. Sur le tout dernier secteur, assez pentu, quand j'en sors, j'entends un bruit qui tape sur mon vélo. J'entends les mauvaises langues déjà dire "comme d'habitude", oui, mais non, là, y a un truc qui cogne je ne sais pas où. Je m'arrête pour chercher l'origine de ce bruit mais ne trouve rien. Les autres sont loin devant et je les rejoints doucement, avec mon bruit à la noix et ma selle en bas ... enfin, je n'ai pas déraillé, c'est déjà ça. Ce n'est pas ma journée mécanique !
 
Tout le monde cherche sur mon vélo, ce qui peut faire ce bruit et c'est Stéphane qui trouve : un énorme clou planté bizarrement, complètement de travers, presque à l'horizontale, dans un crampon. Comment a-t-il pu rentrer avec cet angle ? C'est un mystère. Stéphane le retire, sans que le pneu se dégonfle (ben, oui, avec ma veine, c'était encore possible de crever à la toute dernière descente). Ouf !
 
On rejoint vite François. Je remballe tout et Stéphane nous repropose une petite descente bonus, la der des der. Comme tous les autres jours, je zappe le bonus, je suis programmé pour un effort donné, après, je déconnecte, donc pas envie de m'y remettre en y étant pas vraiment car c'est dans ces situations qu'on va au tas, puis de toute façon j'ai ma dose de vélo, je suis rasassié et en plus, j'ai mal selle qui est coincée ! Là, on sent le mec vraiment plus motivé :lol:.
 
On va se positionner en bas de la descente, avec François, comme tous les soirs, et là j'en profite pour passer quelques coups de fil, pour une fois que ça capte bien et que j'ai la 4G.
 
Enfin, les voilà, il est temps de rentrer, surtout que ce soir, j'ai décidé de tester le chocolat maison de Virginie, et peut-être le sauna ou le hammam, mais ça c'est moins sûr, ce n'est pas le genre de truc qui m'attire.
 
Je prends vite ma douche, mets mon maillot de bain au cas où, et file rejoindre les autres sur la terrasse, encore sales ... mais avec une bière. Pour moi, ce sera donc le chocolat classique. Miam, c'est bien bon, je me régale, bien plus qu'avec une bière.
 
Ned et Petitdragon prennent chacun une douche mais filent chacun directement au hammam, sans me prévenir. Quand je m'aperçois qu'ils sont déjà partis, j'abandonne l'idée d'y aller, vraiment pas motivé pour aller transpirer.
 
Du coup, avec Bbanpc, on prépare la valise pour ne pas trop traîner le lendemain, puis, fidèles à nos habitudes, on descend au bar prendre l'apéro avant notre dernier repas au gîte (mousse de betterave, originale et bien rafraîchissante, pounti cantalou à base de côtes de blette et de pruneaux, plateau de fromages de la mort, sorte de pudding aux cerise encore très bon, j'adore les desserts !).
 
On va finir avec une nouvelle belote, acharnée :P, puis une bonne nuit avant de partir le lendemain sous des trombes d'eau (ouf, on s'en est pas si mal sorti, finalement).
 
Statistiques
Distance : 31,3 km pour moi, 35 km pour les autres
D+ : 690 m pour moi, 754 m pour les autres
D- :  1574 m pour moi, 1815 m pour les autres
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